Écorché

1963

bronze coulé

Collection(s):

Exposition(s):

Villa Medicis, Rome

Salon de Mai, Salon de la jeune sculpture, Salon Comparaison, Galerie A, Salon des réalités nouvelles, La biennalle de Paris II (prix du bronze), Pari

     

Réminiscence des camps de concentrations.

 
  • 7 juin 1965. Daily American, Rome
    La Porte de l'enfer est un portail inquiétant aux contours cauchemardesques. Cette oeuvre est l'écho de la Porte de l'enfer de Dante d'où nul ne peut s'échapper.

  • 1er Juillet 1965. Paese Sera. Rome
    Ses œuvres sont de terrifiants souvenirs des camps de concentration nazis. Dyens en a reçu un choc en écho… Mais son attitude s'oriente vers une méditation positive qui nous laisse entrevoir la victoire de la vie sur la mort…

  • 19 0ctobre 1965. New York Herald Tribune. Rome
    La Mort lente, sculpture torturée en volutes circulaires suspendues dans l'espace, symbolise la vie se retirant d'elle-même…

  • 26 octobre 1965. Arts. Paris
    Ses œuvres le classent comme l'un des plus authentiques parmi les jeunes artistes et probablement comme le plus assuré, le plus accompli dans sa démarche artistique. Sa sculpture n'est pas essentiellement art de l'espace mais plutôt art viscéral occupé des métamorphoses de la nature, art qui puise sa richesse dans l'ambiguïté d'un dualisme perpétuel. Dyens, Prix de Rome, nourrit son acte créateur de l'impact qu'ont sur son imagination telles formes rencontrées, végétales, animales voire géologiques….À la permanence des constituants fondamentaux s'oppose le déchiquètement, l'explosion, mort dont l'issue est une nouvelle naissance….

  • 25 octobre 1965. Le Figaro. Paris
    Ce n'est ni l'apparence de la vie, ni l'idée qu'il s'en fait qui compte pour l'artiste, mais tout ce qui sourd, tout ce qui frémit, tout ce qui palpite sous la carapace d'un mot, d'un sentiment, d'une réaction de vie…Suspendus ou posés sur un socle, ces bronzes, d'une très belle maîtrise alternent les déchirements qui arrêtent la lumière et donnent de l'intensité aux vides. On ne peut rester indifférents aux appels d'une œuvre à la recherche de la création première…